Journal d’investigation et du grand reportage, Le Correspondant défend l’enquête de terrain. Il est libre, indépendant et corrosif, il ne dépend d’aucun groupe économique ou politique et n’a qu’un un seul crédo : fabriquer une info… et pas l’opinion. Fondé par le grand reporter, Djaffer Ait Aoudia, qui a couvert toutes les guerres de ces trois dernières décennies, de celles du terrorisme, des frappes chirurgicales, les dégâts collatéraux, aux putschs, assassinats politiques. Afghanistan, Irak, Haiti, Colombie, Palestine, Ukraine…Partout où l’homme a décidé d’offrir le meilleur de sa haine, il l’a aimé dans sa complexité, l’a décrit et l’a détesté dans sa méchanceté. En presque trente ans de vadrouilles, infidèle, il a pigé pour toutes les rédactions, de Marianne à Arte en passant par Paris Match. Vingt documentaires et de multiples grands reportages et enquêtes plus tard, Djaffer décide de créer Le Correspondant, journal entièrement indépendant : plutôt tourné vers l’humain, l’universel, qui n’aime pas les coups bas politiques. Il est à l’image de ceux qui le fabriquent : de nombreux reporters, français et étrangers, des professionnels de l’information, rompus à l’investigation et aux terrains de guerre. Des pros qui ne se la pètent pas, plutôt grandes gueules, mais sincères et intègres. Avec Le Correspondant, ils retournent le couteau dans l’info.

Feu sur Camus
Pire qu’une immense boule de feu sur le toit de Notre-Dame, « Oublier Camus », sorti en septembre dans les librairies ( Edition « la Fabrique » ), va